lundi 16 juin 2008

homosexualité



Puisque les «néos» ne veulent pas se prononcer sur l'homosexualité, je prends moi-même la plume.
L'homosexualité c'est un vice comme tant d'autres (avarice, vanité etc.), mais c'est un vice contre nature, donc plus grave que la fornication. Cela n'empêche nullement un homme, qui en est atteint, d'être croyant et pieux pourvu qu'il lutte contre cette passion. Le plus souvent les homosexuels ont cette faiblesse, soit héritée soit attrapée pendant leurs enfance (une mère autoritaire par exemple peut étouffer les sentiments normal d'un garçon et le rendre efféminé).
Maintenant, c’est une chose d'avoir cette passion et c’en est une autre de s'y adonner. Celui qui s'y adonne commet un péché au même titre que n'importe quel autre péché et dont la gravité dépend de mille choses.
Un homosexuel est à plaindre et non à juger, pas plus qu'un drogué. Ce qui est à condamner, c'est ce vice qui rend l'homme malheureux. Ce dont il a besoin, c'est de compréhension et d'aide et non de rejet. Par contre, normaliser l'homosexualité est fermement à rejeter.
Notre société, qui est en pleine décadence, va logiquement vers une normalisation de ce qui va dans son sens et ses intêrets. Aujourd'hui c'est l'homosexualité, demain la pédophilie et ensuite l'inceste. Les anciennes civilisations qui ont disparu nous en donnent l'exemple flagrant. Le Seigneur n'a-t-il pas détruit Sodome ?
«Les gens de Sodome étaient méchants, et de grands pécheurs contre l’Éternel.» (Gen 13,13)
«Ils appelèrent Lot, et lui dirent: Où sont les hommes qui sont entrés chez toi cette nuit ? Fais-les sortir vers nous, pour que nous les connaissions.» (Gen 19,5)
Nous ne jugeons pas, bien sûr, les gens qui sont en dehors de l'Eglise mais nous jugeons ce vice et guidons les fidèles qui en sont atteints.
Marier deux personnes homosexuelles est une aberration, et l'Eglise orthodoxe ne pourra jamais l'accepter ! Adopter ensuite des enfants va dans le même sens. Ils vivront dans une ambiance malsaine, n'auront pas, soit une vraie mère, soit un vrai père, mais, comme parents, deux personnes qui se livrent à leur vice.
Pour terminer : Les habitants de l'île de Lesbos, dont les femmes s'appellent lesbiennes, ont porté plainte devant le tribunal, afin qu'on appelle autrement les femmes homosexuelles. Il en existe, des mots : anandrine, gomorrhéenne, fricatrice, sapphique ou tribade. Plus vulgaire, on a goudou, brouteuse, chipette, voire gouine ou lesbiche, mais on en revient à l'île maudite.
Sur la photo le détail d'une fresque du Jugement dernier : Église de la Mère de Dieu à Ljeviska (Serbie) : La punition d'un homosexuel.

hm. Cassien

Aucun commentaire: