Dans ce blog je tiens les lecteurs de notre site "orthodoxievco.fr" au courant de nos nouvelles.
vendredi 7 décembre 2012
projets
lundi 22 octobre 2012
Nouvelles de Grèce
dimanche 14 octobre 2012
Sacre d'évêque
Mardi, le 26 octobre, lors de la fête du transfert de saint Jean le Théologien, fut sacré l’évêque de Bresthène, l’higoumène du monastère de le Transfiguration, le père Stephan.
lundi 8 octobre 2012
concélébration
dimanche 9 septembre 2012
Nouvelles de Grèce
vendredi 24 août 2012
Grèce
mercredi 15 août 2012
JUSQUES A QUAND
samedi 4 août 2012
SANS TITRE
mercredi 1 août 2012
BÂTI SUR LE ROC
mardi 24 juillet 2012
mardi 3 juillet 2012
DIEU AVEC NOUS
samedi 16 juin 2012
SCIEMMENT J’ATTENDS LE SEIGNEUR
jeudi 7 juin 2012
Mgr Antony de New York
En Christ, archimandrite Cassien
dimanche 3 juin 2012
Pentcôte
jeudi 31 mai 2012
Suisse
Vôtre en Christ, archimandrite Cassien
mercredi 23 mai 2012
Ascension
mercredi 16 mai 2012
NOUVELLES DE LA MISSION
Depuis notre dernier séjour en Ouganda, la construction du foyer à Kampala s'est achevée. Il ne reste à faire que les finitions.
Dans la paroisse de Kyanwuma, qui est à trois heures de Kampala, les travaux de la chapelle sont aussi avancés. Les pères ont commencé des plantations sur nos terrains à Kyanwuma, afin d’aider le foyer.
Voilà en bref les nouvelles de ce voyage en Afrique.
vendredi 27 avril 2012
Nouvelles de Grèce
mardi 17 avril 2012
L'ICÔNE DE LA MÈRE DE DIEU D'IVIRON (PORTAITISSA)
Voici le récit de l'icône dont c'est la fête aujourd'hui :
Pendant la période iconoclaste, cette sainte icône appartenait à une pieuse veuve qui vivait avec son fils unique près de la ville de Nicée en Asie Mineure. Cette veuve pieuse qui vénérait profondément la sainte icône, la gardait dans l’église aménagée près de sa maison.L’Empereur iconoclaste Théophile avait dépêché partout ses émissaires pour détruire les saintes icônes, et ils vinrent aussi à Nicée chez la pieuse veuve. Cette dernière réussit à faire patienter les soldats jusqu’au matin, leur promettant une grosse somme d’argent. En effet, elle passa toute la nuit en priant la Reine des cieux de protéger son fils et l’icône ; elle porta ensuite l’icône avec son fils au bord de la mer et l’y jeta , la confiant à la Providence et à la très sainte Mère de Dieu.C’est avec joie qu’elle vit l’icône se tenir debout sur la surface des flots au lieu de tomber à plat comme on pouvait s’y attendre. L’icône se dressa donc d’abord face à la rive et ensuite, glissant sur les vagues, elle s’éloigna vers l’ouest, échappant au regard de la veuve. Réconfortée par cette vision, la veuve bénit Dieu et rendit grâce à la Toute Sainte. Ceci se passait vers la moitié du IX ème siècle.Un siècle plus tard, vers 980, les moines du monastère georgien Iviron sur la rive ouest de la péninsule du Mont Athos, virent une étrange manifestation. Une colonne de feu se dressait de la mer jusqu’au ciel devant le monastère; entre les vagues et la colonne se trouvait une icône. L’agitation fut grande chez les moines. Ils tentèrent d’approcher l’icône en bateau au son des prières et des chants mais à chaque tentative, elle s’éloignait d’eux. Une fois retournés à la rive, l’icône s’approchait à nouveau. Le trouble était grand car aucune prière n’y faisait, plusieurs jours et plusieurs nuits durant.A cette époque, un ascète georgien, Gabriel, homme purifié par la prière et la grâce et qui vivait reclus dans une grotte au-dessus du monastère, eut une vision : La très sainte Mère de Dieu lui apparut en songe et elle lui ordonna d’annoncer à l’higoumène son intention de donner son icône comme aide et protection à la communauté. Gabriel devait s’approcher sans crainte sur les flots pour prendre l’icône. Cette nuit même en présence de tous les moines restés à chanter sur la rive avec des bannières et des encensoirs, Gabriel monta dans une barque, navigua jusqu’à l’icône et, ô miracle, le voilà marchant sur les flots comme jadis le chef des apôtres Pierre, allant à la rencontre du Christ. Il prit l’icône dans ses mains et la porta lui-même au monastère où on célébra pendant trois jours et trois nuits les offices d’action de grâce.Plusieurs siècles passèrent et l’icône restait objet de vénération des moines dans l’église centrale du monastère appelée Catholicon.Vers le XV ème siècle, lors de la prise de Constantinople par les Ottomans, il y eut des incursions de Turcs au Mont Athos où ces derniers se sont livrés au pillage des monastères et même plusieurs moines ont été massacrés par eux.Dans le monastère d’Iviron, des événements prodigieux eurent lieu. L’icône de la Mère de Dieu disparut. On la chercha partout sans la trouver bien qu’elle fût une icône de grande dimension. Finalement, on s’aperçut qu’elle se trouvait sur le mur au-dessus de la porte d’entrée du monastère. Chose étrange ! On la transporta de nouveau dans l’église, mais le même fait se reproduisit le lendemain et le jour suivant. La Mère de Dieu apparut finalement à l’higoumène et lui dit : «Annonce à la communauté que mon icône doit rester près des portes. Je ne veux pas être gardée mais c’est Moi qui vous garderai non seulement dans cette vie mais dans l’autre… Tant que mon icône sera dans votre monastère, ma miséricorde et ma grâce ne tariront pas». (C’est pourquoi l’icône a été appelée depuis la Portaïtissa –celle qui garde la porte).A ce moment-là, un groupe de Turcs vinrent pour piller le monastère. Arrivant aux portes, qui étaient évidemment closes, l’un d’eux, mû par un esprit malin, prit sa lance et l’envoya sur le visage de la Mère de Dieu. La lance toucha le cou de la Vierge et aussitôt, une plaie se vit sur le cou et du sang s’écoula en abondance. A la vue de ce miracle, les Turcs paniquèrent et prirent la fuite. Seul, celui qui a commis le crime resta sur place comme mort. Au petit matin, les moines ouvrirent les portes du monastères et trouvèrent ce Turc à terre, presque sans souffle. On l’amena à l’intérieur où l’on prit soin de lui. Lorsqu’il fut revenu à lui, il demanda pardon à l’higoumène pour le crime qu’il commit et voulut se faire baptiser. On le baptisa et on lui donna le nom de Gabriel. Mais toute sa vie il refusa d’être appelé Gabriel et il demanda à être appelé Barbaros (barbare en français); il porta toute sa vie la pénitence, ce qui lui valut d’être compté parmi les saints. Il est vénéré sous le nom de Barbaros et ses reliques se trouvent au monastère du Mont des cellules.Un autre miracle accompli par l’icône enseigna aux moines du monastère la nécessité fondamentale d’être toujours hospitalier.Au XVII ème siècle, un pèlerin affamé vint et sonna à la porte du monastère. Le frère portier lui ouvrit pour savoir ce qu’il voulait :“J’ai très faim, est-ce que je peux avoir un peu de pain?”– “As-tu de l’argent ?” lui demanda le moine !– “Non, je n’en ai pas !” répliqua le pèlerin.– “Alors pas de pain !” Et il referma la porte du monastère.Fatigué et tout triste, le pèlerin s’assit sous un arbre en se lamentant sur son sort. Mais soudain il vit une dame de bon augure, portant un enfant dans ses bras, et qui lui demanda :– “Que veux-tu, pourquoi es-tu si triste ?”– “Ô Madame ! J’ai faim et je n’ai même pas d’argent pour m’acheter un pain.”– “Prends cette pièce, et va acheter du pain.” Et elle lui tendit une merveilleuse pièce en or.Tout joyeux, le pèlerin s’en alla frapper à nouveau à la porte du monastère et le frère portier lui ouvrit :– “Alors, te voilà revenu !”– “Oui, et cette fois j’ai de quoi payer !” Et, il lui tendit la pièce d’or.– “Etonné, le moine prit la pièce et la regarda, elle valait trop cher mais cette pièce ne lui semblait pas étrange. Il se souvint que sur l’icône de la Mère de Dieu à l’église, il y en avait une semblable, don d’un grand prince. Pour se rassurer il entra à l’église et, surprise ! la pièce manquait sur l’icône. Il sonna alors les cloches, et tous les moines se rassemblèrent avec leur higoumène. On questionna le pèlerin qui leur assura que c’était une dame portant un enfant dans ses bras qui la lui a donnée. On l’amena à l’église où il put reconnaître en effet la dame et l’enfant sur l’icône. Et depuis ce temps-là, jamais on n’a refusé de secourir quelqu’un qui était dans la nécessité.Par sa sainte icône, la Mère de Dieu accomplit un grand nombre de miracles qu’il est impossible de citer ici. Nous n’en évoquons qu’un seul, important pour le Mont Athos. En ce lieu, survenaient fréquemment des famines, mais avec l’aide de Dieu et de sa très sainte Mère, tout s’arrangeait pour le mieux. En 1854, la famine fut si grande que les moines fuyaient la mort. Sur les quarante mille moines de la Sainte Montagne, seuls mille restèrent et encore, en hésitant beaucoup. Alors, la Reine des Cieux apparut à des ermites et leur dit : “De quoi avez-vous peur ? Bientôt tout sera terminé et la montagne se remplira à nouveau de moines. Tant que mon icône sera dans le monastère d’Iviron, ne craignez rien et restez dans vos cellules. Mais lorsque je sortirai du monastère, que chacun prenne son sac et parte où il pourra”.On fit plusieurs copies de cette icône qui à leur tour se révélèrent miraculeuses, telle celle qu’on fit pour un empereur russe dont la fille était paralysée. Quand la fille entendit que l’icône arrivait du Mont Athos, elle se releva guérie. En réponse à cela, le Tsar lui offrit un habillement magnifique en or qui la couvre jusqu’à maintenant. Qu’à travers son icône , la Mère de Dieu nous protège tous. Amen.
dimanche 15 avril 2012
Christ est ressuscité !
vendredi 16 mars 2012
LES TROIS ARBRES
Il était une fois, quelque part, trois petits arbres qui se tenaient sur une colline et rêvaient à ce qu’ils souhaitaient dans l’avenir.
Le premier regardait en l’air en disant : «Je voudrais garder un trésor. Je voudrais être décoré avec de l’or et rempli de bijoux. Je serai le plus beau coffret à bijoux au monde !»
Le second regardait au loin un ruisseau qui faisait son chemin vers la mer. «Moi je voudrais naviguer sur les mers en transportant sur moi des rois puissants. Je serai le plus puissant navire du monde !»
Le troisième arbre regardait vers le bas où il avait des hommes et des femmes au travail. «Moi, je voudrais rester sur le haut de cette colline. Je voudrais devenir si grand que les hommes, en s'arrêtant, regardent vers les hauteurs, vers le ciel et pensent à Dieu. Je serai l’arbre le plus haut du monde.»
Les années passèrent. Pluie et soleil se succédaient et les arbres grandissaient. Un jour, trois bucherons montèrent sur la colline. Le premier regarda le premier arbre et dit : «Cet arbre est beau. C’est tout à fait l’arbre qu’il me faut.» Et, en quelques coups de hache, l’arbre tomba.
«Maintenant il feront de moi un joli coffret et je garderai des trésors !» se dit le premier arbre.
Le deuxième bucheron regarda le second arbre et dit : «Cet arbre a l’air très solide. Exactement ce que je veux.» Ce disant il coupa l’arbre qui s’effondra à terre. «Maintenant je voyagerai sur de grands océans, songea-t-il, et je deviendrai un imposant bateau, qui emportera des rois !»
Le troisième arbre désespéra quand le dernier bucheron le regarda. Il se tenait droit et haut en se dressant vers le ciel. Le bucheron leva son regard vers lui en murmurant : «Il me va très bien, cet arbre.» Après quelques coups de hache, l’arbre tomba à terre.
Le premier arbre fut plein de joie quand le bucheron le porta vers la scierie. Mais l’homme en fit une crèche pour les bêtes. Ainsi l’arbre ne garda ni bijoux ni or. On le remplit avec du foin pour nourrir les animaux.
Le second arbre se réjouit quand le bucheron le traîna vers le port, mais ce jour-là on ne construisait pas de puissants bateaux. C’est ainsi qu’il devint une petite barque pour la pêche. Trop petit pour traverser les mers, et juste assez pour naviguer sur un petit lac.
Le troisième arbre, perturbé, se demanda ce qu’il allait devenir quand on le laissa à la scierie. «Je voulais me tenir droit sur la colline et monter vers Dieu, et maintenant …?»
Des jours et des nuits passèrent, et les trois arbres oublièrent leurs anciens rêves. Une nuit illuminée par la lune, une jeune femme s'assit sur le premier arbre et mit au monde son enfant dans cette crèche. Son mari se disait : «Ce serait bien si elle pouvait accoucher dans une maison.»
La femme, mettant sa main sur la crèche qui brillait sous l’effet de la lune, sourit en berçant son premier-né. Tout à coup, le premier arbre comprit qu’il portait le plus grand trésor sur lui.
Un soir, un voyageur fatigué et ses amis montèrent dans une vieille barque. Le voyageur s’endormit pendant que le second jeta ses filets dans le lac. Tout d’abord vides, ils se remplirent de poissons. Le petit arbre eut peur et s’enfonça, étant tant chargé. Il savait qu’il n’avait pas la force de transporter tant de poissons et d’hommes à travers la pluie et la tempête. Le voyageur fatigué se réveilla, se leva et en étendant la main dit : «Silence !» Le vent se calma aussi vite qu’il s’était levé. L’arbre comprit qu’il portait le roi des cieux et de la terre.
Un vendredi matin, le troisième arbre se vit porté par un homme flagellé et épuisé. L’arbre s’effraya quand les soldats clouèrent les mains de l’homme sur lui. Il se sentit mal à l’aise en face de ces hommes cruels. Pourtant le dimanche matin, quand le soleil se leva, l’arbre frissonna, car il savait que l’amour de Dieu avait tout changé. Il avait fait le troisième arbre très fort et chaque fois que les hommes pensaient au troisième arbre, ils songeaient à Dieu. Cela fut bien mieux que d’être l'arbre le plus haut du monde.
N’enlève jamais l’écrit du panneau qui dit «ESPOIR», et ne pense jamais que tout est fini, car il se peut que peu après, tes désespoirs se dressent vers l'espérance libératrice !
mardi 13 mars 2012
Fête de saint Jean Cassien
vendredi 17 février 2012
Nouvelles de la Grèce
Mes chers,
J’ai enfin une connexion internet, mais peu rapide, donc patience !
Ici tout va bien. Je suis installé dans un petit monastère plus bas que Kératéa, qui n’était pas habité depuis quelques années et qui fait parti du monastère des moniales de Kératéa. Je suis tout seul ici au monastère de sainte Marina, mais il y a des maison autour surtout pour les vacanciers.
Je m’occupe de deux paroisses : celle de Kératéa et celle de Peristeri (banlieue d’Athènes). En semaine je célèbre parfois chez les moniales qui sont à 20 mn d’ici.
jeudi 2 février 2012
Grèce
vendredi 6 janvier 2012
MESSAGE DE LA NATIVITÉ DU SAUVEUR
«Gloire à Dieu dans les hauteurs, paix sur la terre, bienveillance parmi les hommes !» (Lc 2,4) Ainsi chantaient les anges lors de la Naissance du Christ.
En premier lieu la Gloire de Dieu qui apporte la paix sur la terre et nous rend Dieu bienveillant à notre égard. Si l’homme ne glorifie plus son Dieu, il ne peut avoir la paix sur la terre et tous les efforts qu’il mène restent vains comme on voit dans le monde actuel qui est en plein crise. C’est la raison première et profonde de l’apostasie de l’humanité qui ne croit plus, qui ne glorifie plus son Créateur et veut construire un paradis terrestre dont lui-même sera le centre et le créateur.
Là où Dieu est chassé, le malin s’installe comme un parasite, et fait des ravages. Noël se vide de son contenu et devient alors une fête purement profane où le plaisir et la sentimentalité dominent comme pour d’autres fêtes chrétiennes : Pâques, Carnaval etc. Et finalement – comme on pouvait entendre sur les ondes d'une radio tout ce qu'il y a de sérieux – Noël est aussi une fête chrétienne.
Laissons le monde apostate, – qui va à sa perte –, de côté et voyons ce qu’est réellement la Naissance du Messie, pour un orthodoxe qui croit et vit sa foi.
«Rien de nouveau sous le soleil», disait le sage (Ec 1,9) Si ! la Naissance d'Emmanuel qui a changé complètement le monde et qui a réconcilié les hommes de bonne volonté avec Dieu. «Rien de nouveau dans le ciel», depuis toute l’éternité pourrait-t-on dire. Si ! Le «Dieu d'avant les siècles» (kontakion de la Nativité) est devenu homme afin de nous sauver. Celui «qui sans changement se fit homme», comme nous chantons dans la Liturgie, est devenu un de nous : un simple homme sans perdre sa Divinité.
Ce Dieu de gloire, dans la Kénosis (abaissement, dépouillement), est né comme un pauvre enfant dans une grotte, sans défense, persécuté, méconnu, calomnié et finalement crucifié par amour pour nous afin de nous donner une seconde chance après la chute au paradis, où l’homme s’est tourné contre son Dieu en désobéissant.
Le paradis terrestre nous est, et nous restera, fermé, mais le paradis céleste nous est maintenant ouvert et nous pouvons y accéder librement et directement depuis ce monde déchu. (Les protoplastes auraient pu y accéder directement depuis l’Éden.)
Depuis la chute du paradis il y a eu, de nouveau, une montée, où Dieu chercha à relever l’homme de sa chute et où Il S’est finalement incarné afin d’achever son oeuvre du salut. Depuis l’Incarnation il y a, de nouveau, une descente, où le Malin cherche à perdre l’homme, comme au paradis, et cela s'accélérera jusqu’à la venue de l’Antichrist qui sera anéanti par le Fils de l’homme quand Il reviendra, cette fois-ci, en gloire, pour vaincre définitivement le mal et prendre avec Lui tous ceux qui seront sauvés.
Le mystère d’iniquité, où des hommes et le Malin se perdent, ne saura anéantir le mystère du salut, où des hommes et des anges répondent librement à l’amour de Dieu. Les anges ont eu le choix entre Dieu et le mal et les hommes l’ont également. Chacun de nous est mis devant ce choix tout au long de sa vie et si par le péché il refuse son Sauveur, par la pénitence, il peut à chaque instant y revenir jusqu’au moment où il quitte cette vie.
La Naissance du Christ s’est faite une fois dans l’histoire à un lieu et une date précis. Nous la célébrons liturgiquement chaque année et elle se fait à chaque instant en nous jusqu’à ce que l’homme nouveau soit né en nous, non plus un simple homme mais un Dieu-homme par grâce.
Je termine avec les paroles de saint Jean Chrysostome : «Ce n'est point à moi de tout vous apprendre, mais à vous de travailler et de chercher, pour ne pas devenir trop paresseux». (Explication de l’épître aux Romains I)