Je viens juste de rentrer de Patras où nous avons célébré la fête paroissiale à l'église dédiée à saint Dionysios de Zakintos.
Dans ce blog je tiens les lecteurs de notre site "orthodoxievco.fr" au courant de nos nouvelles.
jeudi 30 décembre 2010
Fête paroissiale à Patras
Je viens juste de rentrer de Patras où nous avons célébré la fête paroissiale à l'église dédiée à saint Dionysios de Zakintos.
mercredi 29 décembre 2010
NOUVELLES DE LA GRÈCE
J’ai été très occupé ces jours-ci avec un groupe de moniales roumaines et leur prêtre. Elles ont quitté leur monastère néo-calendariste en Roumanie afin de rejoindre notre Synode.
J’ai pu enfin leur trouver un monastère où elles sont maintenant installées. C’est le monastère de Saint-Spyridon près de Thessalonique. Je connais bien ce monastère car j’y célébrais le plus souvent quand j'étais à Katerini et Thessalonique comme prêtre. Il ne restait plus que trois moniales dans ce monastère qui, maintenant, est bien rempli.
Sur la photo, prise après la divine liturgie hier, lors de la fête de saint Eleuthère, on voit une partie de ces moniales avec leur prêtre Nikita et ma médiocrité.
Vôtre,
archimandrite Cassien
jeudi 2 décembre 2010
Retour en Grèce
vendredi 26 novembre 2010
Saxon 2010
Mes chers,
dimanche 14 novembre 2010
Divine Liturgie à Clara
mardi 9 novembre 2010
Nouvelles de France
depuis presque un mois je suis à Clara mais malheureusement je retournerai semaine prochaine en Grèce.
Il y a eu le synode tant attendu et il y aura un autre synode dans deux semaines où je serai déjà en Grèce. Le synode passé c'est bien déroulé et j'espère que le second synode terminera ce que le premier a commencé.
Votre en Christ, archimandrite Cassien
dimanche 3 octobre 2010
Dimanche apres la Croix
jeudi 30 septembre 2010
Suisse
0616804541
En Christ,
archimandrite Cassien
samedi 11 septembre 2010
LES TALENTS
samedi 4 septembre 2010
LA FOURBERIE DES JUIFS
Le passage de l'évangile d'aujourd'hui décrit une partie de la tentative des pharisiens d'embrouiller le Christ de façon sournoise.
D'abord, il Lui demandèrent s'ils devaient payer l'impôt aux Romains.
Le Christ leur répondit par la phrase bien connue : “Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu”.
Puis vinrent les Sadducéens, qui ne croyaient pas en la résurrection des morts, et Lui demandèrent avec sarcasme lequel des frères, dans le cas d'une femme qui avait été mariée successivement à sept frères, lequel des sept l'aurait comme femme après la résurrection des morts.
Le Christ leur répondit, en réaction à leur question sarcastique, qu'après la résurrection, le mariage ne sera pas nécessaire car les hommes vivront comme des “anges de Dieu”.
Cependant, en ce qui concerne la résurrection des morts, Il répondit ce que Dieu avait dit, “Je suis le Dieu d’Abraham, le Dieu d’Isaac, et le Dieu de Jacob. Dieu n’est pas Dieu des morts, mais des vivants.” Après cette réponse, les Sadducéens eurent honte et s'en allèrent. Dès que les pharisiens eurent appris cela, ils revinrent voir le Christ et l'un d'eux, un docteur de la Loi, Lui demanda, quel est le plus grand commandement de la Loi. Le Christ, après avoir répondu concernant l'amour de Dieu et du prochain, demanda aux pharisiens : “Puisque vous reconnaissez que le Christ est fils de David, comment David nomme le Christ son Seigneur ?” Sur cette question, les pharisiens s'en allèrent et dorénavant ils ne tentèrent plus d'interroger le Christ. Leur sournoiserie ne leur servit à rien en face de la Vérité, tout comme la sournoiserie humaine ne peut prévaloir devant la Vérité éternelle, qui est le Christ Lui-même.
Archimandrite Eustache
lundi 30 août 2010
EGINE
samedi 28 août 2010
LES INVITÉS
Après la parabole des méchants vignerons et l'avertissement adressé par le Christ aux pharisiens, qu'ils seront expulsés de la gestion de l'héritage divin, les principaux sacrificateurs cherchaient le moyen de critiquer le Christ. Le Christ, cependant, non seulement ne semblait pas avoir peur d'eux, mais Il répéta même son avertissement par une autre parabole : la parabole des noces royales. Il prévint les “invités” du Royaume des cieux, qu'ils n'en auront pas part, à cause des diverses excuses que chacun présentera. Il vaut la peine de noter qu'on n'entre pas au Royaume des cieux sans être invité, tout comme cela se passe à des noces ordinaires. Même ceux qui furent invités au dernier moment n'allaient pas d'eux-mêmes aux noces, mais furent appelés par les serviteurs du roi. D'aucuns demanderont : Est-il nécessaire qu'un homme soit obligatoirement un "invité" pour entrer au Royaume des cieux ? La réponse, en accord avec la parabole d'aujourd'hui est que, oui, il doit être invité. Cependant, il est bien connu que Dieu n'exclut personne de cette invitation mais “veut que tous soient sauvés” et Il invite tous les hommes, mauvais ou bons, à son Royaume. C'est pourquoi Il envoya ses serviteurs “dans les carrefours”, avec le commandement d'"inviter aux noces” – pourvu que les “invités” qui répondent à l'invitation de Dieu portent un “habit de noces”.
Archimandrite Eustache
samedi 21 août 2010
LE PROBLÈME
Le Seigneur, par la parabole des méchants vignerons d'aujourd'hui révèle et prédit d'une part son propre sacrifice par crucifixion, d'autre part, la fin terrible des gouverneurs du peuple, les scribes et les pharisiens, qui, à l'instar des méchants vignerons, seront expulsés de l'administration de l'héritage divin : il est significatif que tout de suite après cela, le Christ, s'adressant aux pharisiens, les prévient justement : C’est pourquoi, Je vous le dis, le royaume de Dieu vous sera enlevé, et sera donné à une nation qui en rendra les fruits. Quelle était la raison de la fin terrible des vignerons et de leur expulsion de la gestion de la vigne ? Superficiellement, nous dirions que la raison pour leur expulsion était leur comportement méchant à l'égard des représentants du maître de la vigne. Dans un sens plus profond, cependant, la cause est leur désobéissance au maître de la vigne, et la transgression de l'ordre qu'ils avaient, en tant que vignerons tenanciers. Ils souhaitaient outrepasser les responsabilités qu'ils avaient et prétendre aux droits et aux responsabilités qui appartenaient au maître de la vigne. Ils voulaient devenir les maîtres plutôt que les tenanciers de la vigne. C'est cette même force de volonté qui a expulsé les premiers hommes du paradis. Cette même volonté ferme les portes du paradis pour beaucoup de gens. C'est le problème de l'homme moderne : le fait qu'il désire vivre sans Dieu ou même prétendre aux droits de Dieu.
Archimandrite Eustache
samedi 14 août 2010
LES LIENS
Le jeune homme riche de l’évangile d’aujourd’hui alla voir le Christ, et L’interrogea, avec beaucoup de respect, sur la vie éternelle.
Il avait donc des intérêts spirituels, et effectivement, comme il l’a déclaré lui-même, il observait fidèlement la loi.
Cependant, la Sagesse suprême de Dieu révéla, avec discernement, l’attachement qu’avait l’âme de ce jeune homme, et qui l’empêchait d’obtenir ce qu’il cherchait.
Ce jeune homme avait beau observer la loi avec exactitude, il ne pouvait aimer Dieu plus que sa propre personne. C’était parce que son cœur avait un secret attachement – un lien sur lequel il fondait sa vie religieuse. Ce lien étaient les nombreuses possessions qu’il avait, et qui étaient devenues des attaches spirituelles l’empêchant d’aimer vraiment Dieu.
Les possessions ne sont pas les seules choses qui peuvent nous empêcher d’aimer Dieu. Il y a d’autres liens qui nous retiennent de nous consacrer à la Volonté divine : que ce soit nos enfants, que nous aimons trop, nos parents, dont nous ne pouvons pas nous séparer, des membres de notre famille ou bien nos amis, qui nous influencent, le monde et la société, dont nous nous soucions de l’opinion, sans parler du péché et des passions auxquels nous ne pouvons pas échapper. Toutes ces personnes et ces choses-là deviennent des liens qui retiennent l’âme de la recherche de la vie éternelle pour laquelle nous avons été créés.
C’est seulement quand nous cherchons à obtenir l’aide toute-puissante de Dieu que nous pouvons nous libérer de ces liens pour aller vers ce qui est haut et éternel, c’est-à-dire le royaume de Dieu.
Archimandrite Eustache
vendredi 6 août 2010
LA PETITE OBLIGATION
Quand le Christ parlait du pouvoir de pardonner les péchés qu'Il allait conférer à ses disciples, l'apôtre Pierre s'approcha de Lui et Lui demanda combien de fois on devait pardonner à quelqu'un qui nous avait offensé d'une quelconque façon. La Christ, d'un côté, donna la fameuse réponse de "septante fois sept fois", ce qui veut dire "sans fin", tandis que de l'autre, Il enseigna aussitôt à ses disciples la parabole des dix-mille talents, comme c'est bien connu.
Par cette parabole, le Christ enseigna que Dieu est miséricordieux et que non seulement Il fait preuve de longanimité en attendant le repentir d'un homme, mais que, quand un homme L'implore pour un petit délai du remboursement de ses dettes, Dieu lui pardonne et lui remet toute sa "dette des dix-mille talents" qui Lui était due.
Cependant pour qu'un homme reçoive de Dieu la rémission de sa dette, il doit remplir une petite obligation, qui est la condition préalable de son propre pardon.
Cette obligation consiste à pardonner à son prochain la petite dette qu'il peut lui devoir.
Ainsi, si un homme réfléchit et retient bien quel "profit" il y a à pardonner à son prochain, il n'attendra pas que son prochain l'en implore, mais lui-même va courir offrir le pardon à celui qui l'a offensé.
Archimandrite Eustache
mercredi 4 août 2010
40 ans hermitage
vendredi 30 juillet 2010
DIMANCHE DES SAINTS PÈRES DU 4 E CONCILE OECUMÉNIQUE
Le Christ, dans son instruction d'aujourd'hui, enseigna à ses disciples d'observer tous les commandements de la Loi de Dieu – même ceux que certains pensent être petits et insignifiants. L'observance des commandements se fait par les œuvres : les actes de vertu, la foi, le sacrifice et l'amour. Ce sont les bonnes œuvres que les autres verront et dont ils glorifieront Dieu. Dans le Royaume des cieux, sera appelé grand celui qui observe tous les commandements de Dieu et qui donne cet exemple aux autres, de sorte que ces autres soient éclairés. Il est caractéristique que le Christ ne leur enseigna pas depuis les cieux, ni ne leur envoya un de ses délégués du ciel sur la terre pour enseigner le genre humain. Au lieu de cela, Il est venu Lui-même au monde pour devenir l'exemple de l'extrême Humilité, l'Amour absolu et le grand Sacrifice. Il demande la même chose à ses disciples : qu'ils accomplissent d'abord de bonnes œuvres et puis, avec leurs œuvres, ils enseignent l'humanité. Les saints pères du 4e Concile oecuménique, qui sont aujourd'hui honorés par l'Église, devinrent la lumière du monde par les œuvres de leur vie. À notre époque, c'est une grande nécessité pour la société humaine : que les hommes, clergé et laïcs, observent d'abord tous les commandements de Dieu, les grands et les petits, et qu'ils enseignent ensuite les autres par les œuvres. Et de tels hommes, il n'y en a que peu.
Archimandrite Eustache
vendredi 23 juillet 2010
La prière "privée”
Après avoir nourri le peuple, le Christ donna l'ordre à ses disciples de monter dans la barque et de retourner à Caphernaüm. Quand les disciples furent repartis, le Seigneur "congédia les foules". Une fois tout seul, Il monta sur la montagne pour prier "en privé", comme c'est rapporté par le saint évangéliste dans l'évangile d'aujourd'hui. Nous devons prêter une attention particulière à cette prière "privée" du Christ. Par cette prière, le Christ nous enseigna la manière de prier. Premièrement, c'était fait en privé. Le Christ n'invita pas ses disciples à une prière publique, mais resta tout seul à un endroit isolé. Deuxièmement, Il monta sur la montagne. Par là, Il nous enseigne que pour prier, un homme doit se détacher des corvées et des embarras de la vie, et monter spirituellement au-dessus d'eux pour chercher à rendre un culte à Dieu "en esprit et en vérité". Troisièmement, le Christ avait commencé sa prière au crépuscule et la finit tard dans la nuit. La prière nocturne, alors que l'obscurité règne sur la nature et que le monde se repose, donne à la personne spirituelle la faculté de rester vigilante, en cherchant la Lumière du Christ qui est vraiment la Vie. Cette façon de prier est observée à la lettre et en esprit par les monastiques et les ascètes, qui prient surtout "en privé", loin du monde, généralement sur les montagnes et de nuit.
archimandrite Eustache
samedi 17 juillet 2010
La triple Compassion
Le Christ quitta la région de Capharnaüm pour aller ensemble avec ses disciples dans le désert. Quand le peuple découvrit où Il se trouvait, ils prirent avec eux leurs parents infirmes et allèrent à sa rencontre pour L'implorer de les guérir. Le Christ ne fit pas que guérir les infirmes, mais Il instruisit aussi le peuple. Son instruction était si attirante que personne parmi le peuple ne voulut partir jusqu'à très tard l'après-midi, tant qu'Il continuait son enseignement. C'était la deuxième forme de sa Compassion envers le peuple. Il enseignait et son enseignement réconfortait et nourrissat l'âme du peuple. Quand ses disciples L'interrompirent pour Lui demander de permettre au peuple d'aller acheter quelque chose à manger, le Christ montra encore sa Compassion. Il bénit les cinq pains et les deux poissons que les disciples avaient sur eux, et après les avoir rompus, Il les donna à ses disciples qui les distribuèrent en les partageant parmi tout le peuple. Tous mangèrent et furent rassasiés, et il y avait même des restes. Cette triple Compassion du Christ, la guérison des infirmes, l'instruction du peuple et le nourrissement à satiété des cinq mille personnes, était une expression de l'amour paternel de Dieu envers le genre humain.
Archimandrite Eustache
jeudi 8 juillet 2010
"Aie pitié de nous"
Archimandrite Eustache 28-6-2010.
jeudi 1 juillet 2010
Les "mauvaises pensées"
Quand les scribes entendirent le Christ pardonner les péchés du paralytique dans l'évangile d'aujourd'hui, ils se disaient en eux-mêmes qu'Il blasphémait, parce que seul Dieu pardonne les péchés. Le Christ alors, percevant, en tant que Dieu, les pensées des scribes, leur demanda : “Pourquoi avez-vous de mauvaises pensées dans vos cœurs ?” Par cette question, le Christ, d'un côté, révéla en public les pensées des scribes, et de l'autre, Il caractérisa leurs pensées comme “mauvaises”. Qu'étaient ces mauvaises pensées des scribes ? Dans son Sermon sur la montagne, le Christ a dit : “Si ton œil est en bon état, tout ton corps sera éclairé; mais si ton œil est en mauvais état, tout ton corps sera dans les ténèbres”. Les scribes de l'évangile d'aujourd'hui considérèrent la réponse du Christ avec méchanceté, car ils cherchaient à Lui trouver des fautes, voyant qu'ils perdaient leur influence et leur pouvoir sur le peuple. Ainsi, ils ne voyaient pas avec bonté la Bienveillance de Dieu envers leur prochain paralytique, mais souhaitaient accuser le Christ de blasphème. C'est pourquoi le Christ révèle leur méchanceté. De la même manière, le Christ révélera les “mauvaises pensées” de chaque homme qui ne voit pas avec bonté l'œuvre de la Bienveillance divine, mais cherche des accusations contre le Christ et son Église, et des excuses pour justifier sa propre infidélité ou son péché.
archimandrite Eustache
samedi 19 juin 2010
La grande foi
archimandrite Eustache
mercredi 2 juin 2010
But et chemin
BUT ET CHEMIN
Sartre, un philosophe athée, disait que l’enfer ce sont les autres. N’est-ce pas vrai quand je pense à mon mari qui m’agace avec son comportement (au début du mariage pourtant tout allait bien !), ma voisine qui me dérange tout le temps, mes collègues du travail qui me gênent et même dans l’église, les autres fidèles m’empêchent de vivre ma vie de foi et de faire mes dévotions. Si je pousse un peu plus loin : l’Église même avec ses faiblesses et limites me trouble et je pourrais même mettre Dieu sur le banc des accusés car Il permet tout cela et n’écoute pas mes prières.
Quoi faire contre cette situation impossible ? Changer le monde ? C’est plus que difficile. Il est peut-être bien plus facile de changer mon attitude et de mettre dans ma tête que tout cela n’est que passager, que ce ne sont que des obstacles sur la route qu’il s’agit à franchir, et que seul le but compte. Au lieu de me laisser accaparer par l’obstacle à franchir, je ferai mieux de regarder en avant et de penser, comme un voyageur, que les intempéries sur la route, les collines, les détours, font inévitablement partie du parcours, et que je fixe mes yeux, comme ce voyageur, au but tant désiré.
Après un répit du temps pascal, nous voilà de nouveau dans l’arène. Le Carême des Apôtres arrive et les vêpres de Pentecôte sont le signe du départ. «Ne te souviens pas des péchés de notre jeunesse ni de nos égarements, purifie-nous de nos fautes cachées, ne nous rejette pas au temps de la vieillesse, ne nous abandonne pas quand déclinera notre vigueur; avant notre retour en terre accorde-nous la conversion, entoure-nous de grâce et de bienveillance,» lit le prêtre, à genoux, dans la première prière. Ce que nous vivons ainsi liturgiquement, il faut le vivre dans toute cette vie. Sans la privation, pas de récompense, sans la croix, pas de résurrection !
Combien de fois j’entends tel ou tel fidèle se plaindre de son sort et se révolter au lieu d’accepter sa croix. C’est pourtant cette croix, et elle seule, qui est notre salut. C’est grâce à la croix du Sauveur que notre petite croix prend aussi de la valeur mais uniquement si nous l’acceptons et le portons en connaissance de cause. Il y a eu deux larrons, qui ont subi le même sort, cependant un seul se retrouvait avec le Sauveur, dans le paradis selon la promesse du Seigneur. A nous de voir ce que nous faisons de notre croix qui est, de toute façon, inévitable.
Quel saint ne nous sert comme exemple, tel saint Jean le Russe. N’a-t-il pas vécu dans un étable et pourtant il est devenu un saint malgré et grâce précisément à cette situation pénible.
«Pour toi, mon frère, qui te hâtes vers la patrie céleste, … (Saint Benoît Règle chap. 78) Hâtons-nous donc, les yeux toujours fixés sur notre vraie patrie qui n’est pas passagère et où il n’y a plus «ni peine ni tristesse ni gémissements».
Archimandrite Cassien
lundi 24 mai 2010
samedi 22 mai 2010
Tournée en Europe et Afrique
Je viens juste de rentrer en Grèce, d’une tournée en Europe et Afrique. D’abord j’ai passé une semaine en Suisse où nous avons célébrer une liturgie, et ensuite nous avons également célébré une Liturgie à l’ermitage à Clara.
Ensuite je me suis rendu au Cameroun pour une semaine et de là-bas une semaine au Congo.
Pour plus de détails voir sur la page :
en Christ, archimandrite Cassien
lundi 12 avril 2010
Salamine
mardi 6 avril 2010
pélérinages
samedi 3 avril 2010
Pâque 2010
mercredi 31 mars 2010
semaine sainte
mardi 23 mars 2010
Suisse
lundi 1 mars 2010
bulletin 127
lundi 8 février 2010
dimanche 7 février 2010
Mission en Ouganda
Je viens de rentrer en Grèce, après avoir passé deux semaines en Ouganda. Dans la photothèque on peut voir des photos de la nouvelles mission avec description.
samedi 23 janvier 2010
jeudi 21 janvier 2010
Precurseur
mardi 19 janvier 2010
Théophanie 2010
Aujourd’hui, lors de la sainte Théophanie, après la divine Liturgie à la cathédrale de la sainte Trinité, à Ilioupolis, je me suis rendu à Moskato, où notre clergé avec les fidèles vont en procession à la mer, depuis l’église de la Dormition. Là l’archevêque bénit la mer et on rend de nouveau à l’église pour prendre les agapes. Demain, je célébrerai à l’église du Précurseur, où ce sera la fête et plaise à Dieu, je partirai lundi prochain en Ouganda.
vôtre archimandrite Cassien
Quelques photos dans la photothèque.
vendredi 15 janvier 2010
Foyer Agape
mercredi 6 janvier 2010
Nativité du Sauveur
Il nous a visités du haut des cieux, le Seigneur qui nous sauve, Soleil levant plus brillant que tout soleil; nous qui étions dans les ténèbres et dans l'ombre de l'erreur, nous avons trouvé la vérité, car la Vierge à Bethléem enfante le Seigneur notre Dieu.
EXAPOSTILAIRE mode 3
A tous nos fidèles et lecteurs je souhaite une bonne fête de Noël, dans la joie et la paix !
Archimandrite Cassien